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Starlight Express at the Troubadour Wembley Park Theatre - Photography by © Pamala Raith

Avec de nouvelles orchestrations, une chorégraphie revisitée et des chansons inédites, l’histoire du train miniature d’un enfant qui prend vie conserve toute sa magie originelle. La production immersive inclut des courses palpitantes de patinage à roulettes autour de l’auditorium et des performances impressionnantes des 40 artistes interprétant les locomotives et wagons. Dès leur entrée dans le théâtre, les spectateurs sont plongés dans l’action, qui se déroule sur une scène principale presque circulaire, avec des pistes de course se prolongeant entre les zones de sièges et autour de l’auditorium.

Des générateurs ICEFOG Q pour un brouillard lourd parfait
Anticipant une longue série de représentations, les producteurs de la pièce, Michael Harrison Entertainment Ltd, ont rapidement décidé d’acheter quatre générateurs basse pression MDG ICEFOG Q directement auprès de MDG UK pour répondre aux besoins en brouillard lourd. La priorité était donnée à l’absence de résidus, à des niveaux sonores faibles et à une qualité irréprochable de brouillard, tout en offrant une flexibilité maximale avant que les décisions artistiques finales ne soient prises.

« Avec 40 patineurs roulant à grande vitesse, il était crucial d’utiliser un système CO2 de première classe qui ne laisse aucun résidu glissant, ni eau ni vapeur, sur la piste », explique Oliver Thomas, électricien principal de production pour Starlight Express.
« Le niveau sonore était aussi un facteur clé : les générateurs ICEFOG Q sont situés sous la scène, très près du public. Bien que le spectacle soit bruyant, l’expérience doit rester totalement immersive. Nous ne voulions surtout pas briser cette magie par une technologie trop bruyante, surtout pendant Starlight Express Solo, l’un des moments les plus emblématiques du show. »

Deux générateurs ICEFOG Q sont placés en coulisse gauche et droite pour couvrir la scène principale de brouillard lourd. Deux autres sont intégrés dans la plateforme centrale de la scène, où le brouillard, acheminé par des conduits, descend en cascade pour donner l’impression que la plateforme – et le performer qui s’y trouve – flotte. « Contrairement à la fumée, qui aurait rendu l’atmosphère trop opaque avec les mouvements des patineurs, l’ICEFOG offre un brouillard dense et léger qui reste bas, sans gêner les lignes de vue », précise Thomas.

Starlight Express at the Troubadour Wembley Park Theatre - Photography by © Pamala Raith

Collaboration et efficacité environnementale
Avant l’achat, MDG UK a fourni une unité de démonstration aux studios de répétition 3 Mills à East London. Le réalisateur Luke Sheppard et le concepteur lumière Howard Hudson ont pu tester le brouillard en conditions réelles et explorer de nouvelles idées. « Cela nous a rassurés sur la sécurité et la praticité du brouillard, tant pour les artistes que pour la production », ajoute Thomas.

Le modèle basse pression de l’ICEFOG Q a été choisi pour son efficacité, notamment en termes de consommation de CO2. Les générateurs sont alimentés par deux réservoirs Dewar de 230 litres, remplis chaque semaine sur place, évitant ainsi les manipulations fréquentes de bouteilles et réduisant les déchets.

Des générateurs theONE™ pour une brume parfaite
La brume (haze) de Starlight Express est produite par deux générateurs MDG theONE™, fournis par Christie Lites. « Avec l’espace immense et les flux d’air variés, theONE™ était essentiel pour garantir un niveau constant de brume ajustable », explique Hudson. Installés au-dessus de la scène et des sièges, ces générateurs offrent un rendu uniforme et pratiquement imperceptible, idéal pour souligner les effets de lumière et de laser.

Un succès durable
Grâce à ces technologies avancées, Starlight Express combine performance artistique et respect de l’environnement. Le spectacle, qui a débuté en juin 2024, est prolongé jusqu’en octobre 2025, promettant de continuer à éblouir le public avec son univers unique.

Starlight Express at the Troubadour Wembley Park Theatre - Photography by © Pamala Raith

Pour plus d’informations :
www.starlightexpresslondon.com
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Musique d’Andrew Lloyd Webber et de paroles de Richard Stilgoe. Le spectacle est mis en scène par Luke Sheppard, avec une scénographie de Tim Hatley, des costumes de Gabriella Slade, des lumières de Howard Hudson, une conception sonore de Gareth Owen et des vidéos d’Andrzej Goulding. Les nouvelles orchestrations ont été créées par Matthew Brind en collaboration avec Andrew Lloyd Webber, sous la supervision musicale de Matthew Brind et David Wilson. La direction musicale est assurée par Laura Bangay, avec un casting orchestré par Pearson Casting.

La chorégraphie électrisante a été réinventée par Ashley Nottingham, tandis qu’Arlene Phillips revient dans son rôle de dramaturge créative pour cette production innovante.

Avec ces apports créatifs, Starlight Express continue d’émerveiller, alliant modernité et héritage d’un classique intemporel.

Tranceformations 2024 - Photo credit © Gromysz

Le lieu historique, construit en 1913 selon un design de l’architecte Max Berg, peut accueillir 10 000 personnes sous son dôme de 42 m de hauteur et 67 m de diamètre.

C’était l’emplacement de la sixième édition de Tranceformations, qui a accueilli une programmation exceptionnelle d’artistes internationaux de la musique Trance, dont Aly & Fila, Binary Finary, Jordan Suckley, Nilsix, Thrillseekers, Solarstone, Genix, Marcus Schulz, A.D.D.A, Roger Shah et Simon Paterson.

Le concepteur d’éclairage, Marcin Chrzanowski de CM Light, Pologne, a utilisé plus de 500 projecteurs automatiques et 55 lasers très puissants pour donner vie à un incroyable spectacle lumineux, transformant l’espace en une immense œuvre d’art colorée, pleine de symétrie, de couleurs et de mouvements, avec les DJ et les artistes en tant que point focal.

La brume, support de sa conception d'éclairage, a été fournie par 3 générateurs de brume MDG ATMe, contrôlés directement via DMX à partir de la console d’éclairage MA Lighting GrandMA3, et un quatrième générateur de brume MDG ATMOSPHERE, « plus ancien mais, comme toujours, fiable », fonctionnant manuellement à environ 25% - 30% tout au long du spectacle.

Tranceformations 2024 - Photo credit © Gromysz

Le déploiement des générateurs était une installation simple : un seul générateur ATMe dans deux coins de la scène, et un troisième ATMe placé au centre de la scène, utilisé avec un ventilateur pour éviter de créer un mur de brume devant les artistes. Pendant ce temps, l’ATMOSPHERE contrôlé manuellement était situé à l’entrée principale de la salle, où le flux naturel d’air fonctionnait parfaitement sans avoir besoin de ventilateurs.

« La capacité volumique de la salle signifiait que nous avions les générateurs en marche en continu pendant les premières heures de l’événement, les heures suivantes étant simplement une question de les maintenir à un niveau permettant de garder une quantité constante de brume dans la salle », explique Chrzanowski. « J’avais l’un des plus grands nombres de lasers pour un festival en Pologne, et comme vous pouvez le voir sur les photos, la brume MDG s’adapte parfaitement à tout ce que je pouvais lui soumettre ! Il n’y avait jamais de risque de créer des nuages denses dans l’air, et elle gardait les images que je créais claires et transparentes à la fois pour l’œil humain et pour les caméras. »

Chrzanowski préfère les générateurs de brume MDG depuis de nombreuses années et continue de prôner la qualité de leur brume et la contrôlabilité de leurs générateurs : « J’utilise les générateurs MDG depuis qu’ils sont arrivés en Pologne, et je ne vois rien qui puisse les remplacer. Les générateurs de brume MDG ATMe sont l’une des meilleures options disponibles sur le marché et peuvent être utilisés dans toutes les productions télévisées, les événements musicaux ou théâtraux. Je les trouve silencieux, faciles à utiliser, sans problème et avec un design fiable qui fonctionne dans toutes les conditions - à l’intérieur comme dans les grands espaces extérieurs. »

Les solutions d’éclairage et de brume pour Tranceformations 2024 ont été fournies par l’une des plus grandes entreprises de Pologne, TSE Group, en coopération avec Flash. Les lasers ont été fournis par Visual Sensation.

Tranceformations 2024 - Photo credit © Gromysz

Les fichiers GDTF sont essentiels pour les professionnels de l’éclairage qui cherchent à rationaliser et à améliorer leur flux de travail. Le format GDTF (General Device Type Format) est une norme ouverte utilisée dans l’industrie du divertissement pour décrire les capacités des équipements d’éclairage et autres équipements de scène dans un format standardisé. En utilisant les fichiers GDTF, les concepteurs et techniciens en éclairage peuvent assurer une intégration sans faille et une représentation précise des produits de MDG Fog dans leurs systèmes de contrôle d’éclairage et leurs logiciels de visualisation 3D.

L’ajout de ces fichiers GDTF souligne l’engagement de MDG Fog à soutenir l’industrie avec les dernières avancées technologiques, permettant aux utilisateurs de créer des environnements d’éclairage plus précis et dynamiques.

Téléchargez les fichiers GDTF directement depuis https://link.mdgfog.com/GDTF

Chauvin fournit des équipements laser et des services de conseil, ainsi que la supervision technique des lasers, de la brume et d’autres effets spéciaux qu’il propose pour une multitude de projets, de DJ de renom et d’artistes.

MDG : Votre vie professionnelle couvre de nombreux aspects en tant que fabricant, concepteur, programmeur et opérateur de lasers. Pouvez-vous nous donner un aperçu de votre travail ?

Chauvin : Quand les gens parlent de spectacles laser, ils pensent souvent à de grands festivals. J’aime appeler mes lasers des « effets lumineux spéciaux » car les applications sont très variées. Il y a beaucoup de choses que l’on peut faire avec un laser, un faisceau de lumière. De la cartographie des contours sur un bâtiment à la création d’illustrations animées qui se combinent avec la musique. Je fournis du matériel et des connaissances qui, combinés à un esprit artistique, peuvent créer une expérience vraiment mémorable.

Big Slap Festival Malmö

   
MDG : Quel parcours avez-vous suivi pour en arriver là ?

Chauvin : Je n’ai suivi aucune formation, juste du travail acharné et de la passion. J’ai commencé à travailler avec JSFrance (JSF) et j’ai toujours aidé du côté des lasers. Au fil des années, j’ai construit mes propres systèmes laser, et les clients voulaient souvent que quelqu’un les accompagne pour les projets les plus complexes. Peu à peu, ce qui était un service supplémentaire est devenu un emploi à temps plein !

Mon grand tournant a eu lieu en 2019 lorsque JSF a été sollicité pour un spectacle à l’Amsterdam Danse Event 2019, et je suis allé pour « aider ». C’était mon premier grand spectacle et la première fois que j’ai senti que je passais d’un hobby de lasers à un grand spectacle avec beaucoup d’investissement. C’est un exemple de comment quelque chose peut vous amener de manière inattendue au niveau supérieur.

Il n’y a pas de route droite : vous apprenez et découvrez sur le terrain et les gens reconnaissent votre travail, voient que vous êtes passionné et savez de quoi vous parlez… et une chose en amène une autre. J’ai simplement commencé en donnant des conseils et cela s’est transformé en ce que c’est maintenant.

MDG : La fabrication de lasers est une part importante de votre travail, mais il en va de même pour la praticité de faire fonctionner un spectacle. Dites-nous en plus.

Chauvin : C’est un sujet très technique et je trouve plus intéressant de parler des spectacles, de la créativité et des outils nécessaires pour répondre aux idées des artistes. Une prise de conscience précoce pour moi a été l’importance de la brume comme facteur majeur dans le processus artistique. Je pense que cela a été le secret de mon succès dès le premier jour, et cela m’a définitivement aidé à prendre un avantage lorsque j’ai commencé. Mon parcours est dans les clubs où l’atmosphère est dense, sombre et brumeuse. Cela m’a manqué quand je suis passé aux scènes, donc je suppose que cela m’a aidé à me concentrer davantage dessus. Si vous voulez avoir un spectacle percutant, achetez plus de machines à brume ! Cela ajoutera beaucoup à ce que vous avez déjà.

La brume est souvent négligée dans de nombreuses applications et ma première question à mes clients est « votre brume est-elle à jour ? ». Les lasers sont vendus par puissance – plus la puissance est grande, plus l’application est grande – mais doubler la puissance coûte beaucoup plus que doubler le prix ! Investir dans plus de brume plutôt que des lasers plus puissants peut économiser plus d’énergie et d’argent et avoir un plus grand effet pour une fraction du budget. C’est un facteur important qui amènera votre spectacle au niveau supérieur et qui doit être discuté !

Parce que je spécifie de très bonnes brumes, je n’ai pas besoin d’utiliser des lasers de très haute puissance et je peux donc offrir un package plus économique. Nous transportons plus de brume lorsque nous jouons en extérieur avec d’autres artistes afin de pouvoir augmenter l’efficacité des visuels en ajoutant simplement plus de brume que ce qu’un artiste/DJ pourrait normalement transporter. C’est le même spectacle, mais avec plus de brume, il semble tellement plus impressionnant.

Je veux que les gens lisent cela et pensent : « Est-ce que je néglige ce sujet ? Ma brume est-elle à la hauteur ? Devrais-je acheter plus de brume au lieu de plus de lasers ? Peut-être que ce gars a raison ! »

Vladimir Cauchemar @ Main Square Festival   

      
MDG : Votre travail en tournée est très important pour vous. Comment est-ce de tourner avec des artistes ?

Chauvin : Je fournis du matériel et des connaissances et je suis là pour m’assurer que ce que j’offre fonctionne sans problème et que le spectacle est le meilleur possible.

Pour certains spectacles, je suis positionné à la régie, donc je vois le spectacle de l’endroit où le public le voit ; pour d’autres spectacles, je suis sur scène.

Sur scène, vous avez une relation plus personnelle avec l’artiste. Les artistes sont essentiellement seuls sur scène et chercheront le contact visuel avec vous au lieu de la foule. Ils recherchent votre réaction. Si vous, qui avez vu le spectacle plusieurs fois, l’appréciez toujours et qu’ils savent que vous passez un bon moment, alors ils savent qu’ils font du bon travail.

Faire partie de cette atmosphère créative aux côtés de l’artiste est quelque chose de formidable. J’adore l’énergie de cette interaction bidirectionnelle.

MDG : Quels sont les signatures de votre style en matière de lasers, d’éclairage et d’effets spéciaux ?

Chauvin : Il n’y a pas de style fixe. Je suis très adaptable à chaque projet. Une installation moyenne comparée à Tomorrowland, par exemple, ou un son-et-lumière ou une installation artistique – chacun aura des approches très différentes.
Je déteste les projets en solo – j’aime travailler en équipe. J’aime écouter, travailler avec des artistes qui sont ouverts et qui me font confiance ; ceux qui sont curieux et ont un esprit ouvert pour explorer les choses. J’aime apprendre et m’adapter, pas copier-coller ou faire de petits ajustements aux mêmes vieilles choses.
Je crée des effets laser mais je suis plus un technicien et j’adore cette relation entre l’ingénierie et l’art. Les artistes viennent avec des idées folles et ils adorent quand vous ne dites pas que c’est impossible. Parfois, vous devez simplement trouver ce qu’ils veulent et être créatif avec les outils que vous avez.

J’apprécie vraiment cet échange entre l’artiste et moi, travailler ensemble pour comprendre et créer leur vision et explorer les directions à prendre pour faire quelque chose de cool.

Superbes couleurs et brume parfaite

MDG : Vous utilisez beaucoup de brume et de brouillard dans vos conceptions – qu’est-ce que vous recherchez dans cet aspect ?

Chauvin : La brume est très importante et l’élément principal dans ce que je fais parce que, sans elle, mon monde n’existe pas ! Comme pour tout faisceau lumineux, si vous n’avez pas de particules de brume, de fumée ou d’écrans d’eau, la lumière est invisible et vous ne pouvez pas voir les résultats.

Les gens pensent qu’il est étrange que nous soyons une entreprise de lasers et que nous nous occupions de brume, mais la brume et le brouillard me permettent de faire ce que je fais. Sans cela, je ne peux pas créer les effets que les gens veulent et recherchent. Je pense que c’est une grande partie de la raison pour laquelle ce que je fais fonctionne et pourquoi je réussis dans ce domaine.

MDG : Comment MDG s’intègre-t-il dans cela, et pourquoi aimez-vous travailler avec MDG ? Vous connaissez toute la gamme MDG très bien !

Chauvin : J’aime la gamme de produits MDG car ils ont tout, de la plus petite machine atmosphérique à la plus grande puissance de sortie, et je possède presque toute la gamme de machines à brume, de brouillard et de brouillard lourd, car les applications sont si différentes. Si je pouvais en avoir plus, je le ferais ! Bien sûr, les festivals ont besoin de grandes machines avec beaucoup de puissance, mais parfois la brume doit être petite, discrète, presque invisible à l’œil jusqu’à ce que vous y projetiez de la lumière.

Utiliser du brouillard lourd avec des lasers est intéressant. Par exemple, j’éclaire un spectacle de patinage artistique en utilisant des lasers sur le sol et du brouillard lourd pour que les gens patinent à travers. MDG est le seul fabricant à fabriquer un brouillard lourd qui fonctionne correctement et ne se lève pas avec le mouvement.

Une application plus récente concerne les nombreux centres-villes qui se détournent des feux d’artifice pour des alternatives plus écologiques, choisissant ainsi des spectacles de lasers et de lumières, qui nécessitent à nouveau une bonne brume.

D’un point de vue marketing, c’est vraiment intéressant : les lasers sont moins chers, ne brûlent aucun matériau, et il n’y a pas de déchets à nettoyer après le spectacle. Ils peuvent être utilisés par vent fort ou en période de canicule, alors que traditionnellement on ne peut pas utiliser de feux d’artifice. Par exemple, lors de la canicule de l’été dernier, tous les feux d’artifice ont été annulés en raison des risques d’incendie – mais nous avons pu utiliser les lasers librement et étions les seuls à pouvoir maintenir notre spectacle.

Les spectacles de lasers sont plus rapides à monter et à mettre en place et, contrairement aux feux d’artifice, ne sont pas à usage unique, donc le spectacle est répétable. Bien que certains aspects, comme les explosions, ne puissent pas être remplacés, les meilleurs spectacles sont un mélange des deux – et vous obtenez plus de spectacle pour votre argent si vous souhaitez prolonger sa durée. Cela devient un gros business.

MDG s’adapte à tous ces scénarios. Leurs produits sont vraiment pratiques pour les tournées et faciles à utiliser. Les consommables comme le CO2 et l’utilisation de liquide sont faibles, et trouver du CO2 n’est pas aussi contraignant que certains le pensent. MDG utilise les mêmes bouteilles de CO2 qu’une pompe à bière, donc ce n’est pas difficile à trouver, et une fois que vous avez réglé le côté pratique, c’est facile et tellement fiable.

Dès le début, j’ai choisi d’investir dans MDG et j’ai toujours été heureux de l’utiliser, de le vendre et de le spécifier. C’est la meilleure qualité de brume que je puisse avoir et je sais que je peux compter dessus – ce qui est la partie la plus importante de tout équipement – donc c’est devenu un élément standard de mon kit. Lorsque vous trouvez un produit que vous aimez, vous investissez dedans et vous y restez fidèle, car vous savez que vous allez le garder pour toujours. Alors que les gens changent volontiers leur autre équipement toutes les quelques années, ils me ramènent parfois leurs machines MDG âgées de 30 ans pour les réparer car ils veulent toujours les garder !

MDG est la marque de référence dans l’industrie – tout le monde sait qu’elle est de la plus haute qualité donc personne ne la remet en question. Ils disent simplement : « OK, tu apportes le meilleur ! »

MDG : Quelle est votre vision de votre carrière ?

Chauvin : Je n’ai pas besoin de tout faire. Les grands spectacles sont des expériences incroyables mais j’aime aussi continuer les petits projets, et si je ne le « sens » pas ou si je n’ai pas le personnel pour faire un bon travail, je préfère dire non que de décevoir. Et si je disais oui à tout, j’aurais moins de temps et d’énergie à consacrer aux gens qui méritent la même dévotion que tout le monde.

On ne vit qu’une fois, et je veux me réveiller chaque matin en ayant hâte de commencer ma journée. Je travaille beaucoup et je ne veux pas travailler plus que je ne le fais. Je veux toujours offrir un bon spectacle et satisfaire l’artiste. Trop de gens rêvent en grand et cela devient une corvée à gérer. C’est une vision très courte et je ne veux vraiment pas cela. Il est trop facile de se brûler rapidement si on ne fait pas attention, alors j’essaie de conserver mon énergie et mon enthousiasme. Le jour où je perdrai ma passion sera le jour où je reconsidérerai ma position.

MDG : Que vous réserve l’avenir ?

Chauvin : J’espère faire la même chose que je fais actuellement. On dit que les gens ont changé après la Covid, mais pas moi. C’est là où je veux être. Je ne veux pas grandir ; je souhaite continuer à créer ; je ne veux jamais arrêter de travailler ; j’aime mon travail. J’espère qu’il y aura une nouvelle génération après moi qui aimera faire la même chose. Passez un bon moment et profitez-en – c’est l’élément clé.
 

Emile Chauvin and Chantelle Woods-Dean

Vladimir Cauchemar @ Main Square Festival
   
   

Photo credit: Emile Chauvin @ Loïc, Clubbing Vision
Instagram : https://www.instagram.com/clubbing_vision/

Facebook : https://www.facebook.com/emile.chauvin

Instagram : https://www.instagram.com/livelasershow/

Web : www.LiveLaserShow.com

VEKTOR at Berlin’s Kraftwerk © Ralph Larmann

VEKTOR, Memories in Light & Sound, est la troisième installation de Bauder au Kraftwerk de Berlin, une ancienne centrale électrique transformée en galerie d'art que Bauder qualifie de "cathédrale industrielle". L'œuvre abstraite est un "coffre à souvenirs" personnel qui utilise de petites bribes audios de souvenirs de l'enfance de Bauder jusqu'à aujourd'hui : le bruit de la mer de son enfance passée sur une île de la mer du Nord, les cloches d'une église un dimanche, les rires d'êtres chers, ainsi que des échantillons enregistrés à partir du bâtiment du Kraftwerk lui-même. Les enregistrements sont diffusés avec précision dans l'ensemble du bâtiment, transformant ce dernier en une œuvre vivante et respirante grâce au son et à l'éclairage. "Le public n'a pas besoin de comprendre les idées qui sous-tendent l'œuvre, ni d'être conscient de l'énorme quantité de technologie qui la sous-tend, mais j'espère qu'il apercevra les références ici et là", déclare M. Bauder.

La nouvelle œuvre d'art se compose de 50 lasers montés sur 10 treuils lourds régulièrement espacés, spécialement développés par Kinetic Lights, qui synchronisent le mouvement de tous les lasers. Ceux-ci permettent à Bauder de créer une sculpture dans les airs qui remplit tout le volume de l'énorme espace d'exposition.

"Il est important pour moi de partir d'une symétrie qui me permette de la rompre par la suite", explique Bauder. "En commençant par une disposition très symétrique, je suis en mesure de créer des formes et des espaces complètement aléatoires au cours de la deuxième étape du processus de création. Si votre disposition initiale crée déjà une forme, vous êtes toujours lié à cette forme et vous ne pouvez jamais vous en détacher.

VEKTOR at Berlin’s Kraftwerk © Ralph Larmann

"J'utilise les lasers pour créer des formes et des textures tridimensionnelles qui, je l'espère, évoqueront un souvenir et une réaction émotionnelle chez les spectateurs. J'aime jouer avec ces choses, aller plus loin pour raconter une histoire par des moyens très abstraits et encourager le public à créer sa propre image, plutôt que de simplement montrer des formes synchronisées avec de la musique. Par exemple, dans VEKTOR, j'ai une scène "sous l'eau" où je joue des sons de l'océan avec des oiseaux qui volent au-dessus, et j'ai créé une surface avec les lasers en bleu avec des lumières flottantes qui rappellent des bouées flottantes. Cette combinaison fait immédiatement penser à la mer et à une scène sous-marine, mais ce n'est que la technologie qui déclenche leur souvenir. C'est un spectacle émotionnel et poétique".

Comme pour tout spectacle de lumière, une bonne base de brume est d'une importance capitale pour révéler pleinement le travail de l'artiste, et Bauder déclare qu'il utilise les générateurs de brume et les machines à brouillard de MDG chaque fois que cela est possible pour créer l'atmosphère "adéquate" pour ses œuvres.

"La visibilité de la lumière est importante car j'utilise la lumière dans un sens architectural, comme un matériau que je peux modeler et façonner dans l'espace en une forme tangible qui donne presque l'impression de pouvoir être touchée. En même temps, bien sûr, la lumière est intangible, non physique, et j'ai donc besoin de la brume comme base pour matérialiser la lumière dans l'espace.

"Lorsque l'on recherche la brume parfaite, il y a deux aspects à prendre en considération : la translucidité et la visibilité. Si j'ai beaucoup de brume, j'ai une bonne visibilité des lasers proches, mais elle obstrue la vue des lasers plus éloignés. La quantité de brume est donc extrêmement importante, mais aussi sa qualité : elle doit être suffisamment translucide pour que l'ensemble de la pièce reste visible sur toute la distance de 100 mètres. Je dois toujours pouvoir voir l'arrière de l'espace, mais en même temps donner assez de texture à l'air pour créer la visibilité de ces lasers.

"Il s'agit d'un équilibre très fin entre les deux, et la brume de MDG permet d'atteindre cet équilibre. Le facteur clé est la finesse des gouttelettes dans l'air qui définit la visibilité dans tout l'espace. La brume réagit à la lumière et la réfracte sans obstruer la visibilité. C'est pourquoi j'essaie toujours d'utiliser les générateurs de brume de MDG, car ils offrent ces deux aspects".

VEKTOR at Berlin’s Kraftwerk © Ralph Larmann

L'espace d'exposition de Kraftwerk est un immense espace intérieur de 100 m x 60 m x 25 m de haut, naturellement sombre et réparti sur deux niveaux. "Le volume est énorme", explique Bauder, "mais nous n'avons que deux générateurs de brume MDG ATMe et deux machines à brouillard Me2 fonctionnant à intervalles réguliers pour remplir tout l'espace".

Les deux ATMe sont situés à chaque extrémité de la salle et les deux machines à brouillard Me2 dans les coins opposés. "Au début de la journée, nous faisons fonctionner les générateurs de brouillard Me2 pendant environ 10 à 15 minutes pour remplir rapidement l'espace et créer suffisamment de texture. Ensuite, les deux ATMe fonctionnent à 100 % pendant le reste de la journée, avec deux MDG theFAN™ pour faciliter la circulation, ce qui permet de maintenir la stabilité de la quantité de brume pendant le reste de la journée et de préserver la visibilité. Même en fonctionnant à 100 %, nous n'utilisons qu'environ 20 % du liquide et du gaz par rapport aux systèmes que nous avons utilisés par le passé."

Chaque ATMe, avec theFAN™, est logé avec le gaz et le liquide dans des Vertical Flight Cases de MDG spécialement conçues pour la commodité, le stockage et la transportabilité. Le fournisseur était cast C. Adolph & RST Distribution, le distributeur exclusif de MDG pour l'Allemagne. "Cast est super - nous l'adorons", conclut Bauder. "Ils sont toujours prêts à nous faire des démonstrations de produits et à réagir rapidement lorsque nous avons besoin de services ou de fournitures. Nous entretenons d'excellentes relations avec eux.

La scène artistique berlinoise a un public particulièrement exigeant, mais VEKTOR a reçu un accueil enthousiaste. Quatre concerts sont prévus entre le 15 mars et le 5 avril, avec une musique composée pour la première fois par Bauder. "Nous ne savions pas à quoi nous attendre, mais dès le début, c'était la folie : 6500 personnes le premier week-end et 30 000 au cours des quatre premières semaines", déclare Bauder.

VEKTOR se déroule au Kraftwerk de Berlin du 1er février au 7 avril, avec le premier spectacle en direct le 15 mars 2024.

Pour plus d'informations sur Christopher Bauder et Vektor, consultez le site ttps://www.vektor.art/en

VEKTOR at Berlin’s Kraftwerk © Ralph Larmann

Photo by Johan Persson. Lighting design by Paul Keogan.

Naylor a expliqué son choix de MDG et de cette combinaison d'équipements fournis par Robe/MDG UK. "Nous recherchions depuis longtemps une meilleure uniformité dans la couverture de la brume, car les appareils que nous avons utilisés par le passé étaient inégaux et produisaient généralement plus de brume dans les coulisses que sur la scène ! L'ATMe de MDG, avec son flight case et son ventilateur, nous permet non seulement d'obtenir une couverture de brume fantastique sur scène, mais c'est aussi un moyen sûr et efficace d'utiliser l'équipement en tournée."

Le Vertical Flight Case a été conçu sur mesure avec des compartiments aménagés pour accueillir un générateur de brume ATMe (ou l'un des générateurs de brouillard Me1, Me2 ou MAX 3000), theFAN™, deux bouteilles de CO2 de 9 kg, une bouteille de 4 litres de liquide MDG Neutral et un tiroir à outils pratique. Le tout est logé dans un flight case monté sur roues prêt à l'emploi, de construction robuste qui peut être utilisé facilement et en toute sécurité pour le transport.

L'ATMe, theFAN™ et le Vertical Flight Case ont été achetés pour l'inventaire général du WNO, plutôt que pour une production spécifique. "Nous réalisons beaucoup de coproductions avec d'autres compagnies d'opéra et nous voyons les MDG spécifiés sur de nombreuses productions sur lesquelles nous travaillons. Au cours des cinq dernières années, de plus en plus d'éclairagistes ont demandé des produits MDG."

WNO Ainadamar - Curtain call The Mayflower, Southampton - photo credit Danny Kaan.

Naylor et son équipe technique ont été très impressionnés par leurs nouveaux produits soigneusement protégés et transportables, ainsi que par leur facilité d'utilisation en tournée. "L'ATMe et theFAN™ sont très faciles à utiliser et, comme ils sont intégrés dans un seul flight case, les déplacer d'un lieu à l'autre est un rêve. La maintenance est simple et le fait d'avoir une bouteille de gaz de rechange et toutes les pièces de rechange dans le flight case signifie que nous n'avons pas à nous inquiéter d’un manque de gaz, ce qui est très pratique pour les tournées.

Je peux honnêtement dire que l'ATMe est le meilleur hazer que nous ayons jamais utilisé, en particulier sa capacité à produire et à remplir l'espace d'une brume fine et homogène. Il a dépassé nos attentes et a bien voyagé au cours de cette dernière tournée. Au long de cette saison, l'ATMe est passé d'une brume lourde, de style rock, pour nos concerts familiaux avec beaucoup de faisceaux en vue, à une brume très légère et subtile pour nos opéras."

Naylor conclut : "Nous continuons à expérimenter avec le produit et à le positionner dans chaque salle, mais nous le plaçons généralement en bas de la scène, dans l'une des coulisses, et nous n'avons eu à déplorer aucune plainte dans les salles où nous avons effectué des tournées. Cela fonctionne vraiment très bien pour nous".

Pour plus d'informations sur le Welsh National Opera, consultez le site www.wno.org.uk

Photo by Johan Persson. Lighting design by Paul Keogan.

© Kjetil Tefke. Instagram @kjetiltefke. Postgirobygget perform at Norway’s Treungen Festival.

Since then, they have embarked on an annual summer tour, performing at festivals and venues in front of audiences ranging from 2000 to 18,000 people. The band is often rightly dubbed Norway's summer band!

Postgirobygget’s 28-date Summer 2023 tour began in May and will continue through until September, with set and lighting design by Petter Nilssen of LiteNordic, MDG’s exclusive distributor for Norway. Nilssen chose a single MDG Me2 fog generator as his source of fog and haze for the duration of the tour, complete with MDG’s digital theFAN™, both of which were neatly and conveniently housed with fluid and gas bottles in an MDG Vertical Flight Case as an instant ‘plug-in-and-play’ solution.

“I always chose to tour with an MDG machine,” states Nilssen. “I believe if you take your own lighting rig on tour, it's equally as important to bring your own fog/haze machines. It's crucial to me that the show looks consistent everywhere, and there's often a shortage of fog at both local concerts and festivals. Without a good haze/fog machine, the lighting setup you bring won't work optimally every time.

© Kjetil Tefke. Instagram @kjetiltefke. Postgirobygget perform at Norway’s Treungen Festival.

“For example, there are certain sections of the current show, often during guitar solos, where I remove all front light, lower the overhead, and use only 6 MAC Ultra lights positioned on the ground as backlight in a very wide zoom. In such cases, it's crucial to have a lot of fog on the stage to create an interplay between light, fog, and shadows.”

Nilssen was careful to install power and DMX on either side of the stage, as well as in the centre, so the Me2’s Vertical Flight Case can be moved easily as needed, or to counter significant changes in wind directions. “Since the Me2 uses the same neutral fluid as MDG’s ATMe machine, it has an extremely long hang time. So usually, I keep theFAN™ at 100% all the time, and the Me2 machine running continuously at its lowest output. This way, I can evenly spread the fog as a ‘haze’ across the entire stage,” explains Nilssen. “At other times there might be sections in the set that require more fog for dramatic reasons. In those cases, I naturally increase the fog for shorter periods to achieve the desired effect.”

Nilssen is very happy with the results he has achieved with the Me2 fog generator and the responses he has received on tour: “The Me2 machine has proved itself an excellent, truly outstanding device and has shown the technicians I work with what an awesome range the Me family is. There isn't a single machine that can produce such a fine and thick haze with such a long hang time as it does - except maybe its larger counterparts. I'm extremely satisfied with its performance and its fluid and gas consumption. We've completed 17 concerts, and during those shows, I haven't yet used up a 4 x 4 litre box of fluid. Furthermore, I'm still on my second CO2 tank!”
Equipment supplier for the Postgirobygget Summer 2023 tour is Norwegian rental company, Spectre.

© Kjetil Tefke. Instagram @kjetiltefke. Postgirobygget perform at Norway’s Treungen Festival.

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Situés à l'origine dans de vieux bâtiments industriels, ces événements à guichets fermés ont rapidement pris de l'ampleur. L'organisation a récemment adopté la scène RTM de Rotterdam Ahoy, d'une capacité de 8 000 places, comme nouveau terrain de jeux de Rotterdam Rave. En tant que lieu transformé pour l’événement, la scène RTM devait prouver sa crédibilité en tant que "grotte à raves" en créant une véritable atmosphère underground.

© Peitsman - Mitchell Dobbelstein

Peitsman Licht en Geluid BV a contribué à cette transformation lors de l'événement Rotterdam Rave Kick-Off 2023 en février, en fournissant deux générateurs de brume MDG ATMe à Stöd pour le concepteur du spectacle, Joël Lemmerling, et le concepteur d'éclairage, Guy van Noorden.

Patrick Botterman, chef de projet de Peitsman pour l'événement, explique : "Les adeptes des raves étaient sceptiques et pensaient que le lieu ne serait pas assez "underground". La mission de Rotterdam Rave était donc de prouver au public qu'ils pouvaient créer l'atmosphère adéquate pour une soirée fantastique".

"Il était important que nous fassions en sorte que les fêtards se sentent comme des participants, et non comme des spectateurs, afin de leur donner une expérience immersive de la fête", ajoute Joël Lemmerling, concepteur du spectacle. À cette fin, Guy van Noorden a conçu un décor aérien composé d'un certain nombre de cubes et d'un énorme système d'éclairage suspendu au-dessus du public sur plus de 800 mètres de rig, et a concentré l'éclairage sur le public plutôt que sur les artistes et les DJ sur scène.

© Peitsman - Mitchell Dobbelstein

Alors que la salle était remplie de faisceaux lumineux et d'effets laser, les cubes suspendus étaient entourés de bandes LED blanches qui ajoutaient une autre dimension à leur forme. Elles ont permis de définir la forme géométrique dans la brume, soulignant et renforçant l'aspect éthéré et onirique des cubes suspendus et isolés au-dessus du public.

Cela a été possible grâce à la brume uniforme et très étendue qui a rempli chaque partie de la salle grâce aux deux générateurs de brume MDG ATMe. Ceux-ci étaient placés dans les coulisses, à gauche et à droite, et, avec l'aide de deux ventilateurs, ils ont suffi à remplir l'immense salle de la RTM, longue de plus 60 m. "Nous avons allumé les ATMe quelques heures avant le début de l'événement et nous les avons laissés fonctionner", explique M. Botterman. "Ils ont été très économes en liquide et la gestion du CO₂ a été très simple. Le résultat a été une brume diffuse et uniforme dans tout le hall, qui a duré jusqu'au petit matin et s'est avérée être le complément parfait de l'éclairage de Stöd".

Peitsman a travaillé avec Rotterdam Rave lors de ses précédents événements à l'ancienne cale sèche sous-marine Onderzeebootloods, et est le fournisseur privilégié pour tous les événements à la scène Ahoy RTM. "Nous travaillons beaucoup avec les générateurs ATMe et nous constatons qu'ils sont facilement capables de gérer ces grands espaces", explique M. Botterman. "Même dans le ZiggoDome (salle de 17 000 places à Amsterdam), nous n'avons besoin que de trois générateurs ATMe.

"Nous étions très enthousiastes à l'idée de les utiliser pour réaliser la vision du concept de Stöd pour le Rotterdam Rave Kick-Off 2023. Ce fut le premier des événements du festival pour nous et leur première sur la scène Ahoy RTM... Et avec le public qui a fait la fête jusqu'à 7 heures du matin, ils ont manifestement atteint leur objectif !"

© Peitsman - Mitchell Dobbelstein

© Peitsman - Mitchell Dobbelstein

SwanLake © Mikki Kunttu

MDG : Votre vie professionnelle couvre de nombreux aspects en tant qu'éclairagiste, concepteur de décors et de contenus vidéo et programmateur. Pouvez-vous nous donner un aperçu de votre travail ?

Dans tout ce que je fais, l'éclairage occupe une place centrale. Je suis très attiré par la manipulation de l'espace tridimensionnel et j'adore explorer l'éclairage, la vidéo et les décors. Une grande partie de mon travail consiste simplement à regarder le vide d'un espace avec des yeux curieux et à essayer d'en trouver le potentiel. Je pense que j'essaierai toujours de brouiller les lignes entre les décors, l'éclairage et la vidéo car je pense qu'ils ne font qu'un.

L'utilisation d'une console et la programmation ont toujours été des éléments naturels, car je ne me voyais pas faire cela sans être capable de programmer moi-même de manière créative. Je pense que de cette façon, l'aspect technique ne me gêne pas.

MDG : Quel chemin avez-vous emprunté pour en arriver là ?

J'ai commencé par jouer de la guitare dans des groupes à l'adolescence, puis je me suis retrouvé à travailler dans un théâtre local et je suis tombé complètement amoureux de l'ambiance du théâtre dans sa globalité. J'ai ensuite étudié l'éclairage et le son pendant quelques années avant de m'initier à la danse contemporaine. La danse m'a ensuite conduit au ballet et à l'opéra. Parallèlement, j'ai commencé à participer à des émissions télévisées en direct et j'ai travaillé pour quelques groupes. Cette voie m'a ensuite permis d'accéder à des opportunités telles que le concours Eurovision de la chanson.

MDG : L'année dernière, vous avez célébré votre 50ème anniversaire et vos 30 ans de carrière (à ce jour !) par un week-end de productions au prestigieux Tampere Hall, en Finlande. Qu'avez-vous ressenti ?

Oui, il s'agissait en fait d'une semaine de productions comprenant Lucid Dreams, une exposition rétrospective de photos, le séminaire international Light & Shadow, un concert The Planets avec l'orchestre philharmonique de Tampere, ainsi qu’une soirée de gala A Night of Light avec des artistes du monde entier. Je pense que cette semaine a vraiment mis en évidence ce que j'aime le plus : à quel point il est incroyable d'apprendre à connaître et à travailler avec les personnes les plus extraordinaires. Nous sommes tous des nomades animés du même esprit et j'adore tout ce que nous faisons. La vie créative est une telle bénédiction. Je ne pourrais pas demander mieux.

MDG : Quelles sont les caractéristiques de votre style d'éclairage ?

Je pense que j'essaie toujours d'avoir une vue d'ensemble, donc je fais peut-être moins d'effets et je me concentre davantage sur l'image visuelle principale d'un spectacle. C'est en quelque sorte minimaliste, mais exécuté de manière grandiose !

The Planets, Tampere Hall © Ralph Larmann

MDG : Vous utilisez beaucoup de brume, de brouillard et de brouillard lourd dans vos créations. Que recherchez-vous dans ce domaine ?

J'ai tendance à dire que s'il y a une chose sur laquelle toute ma carrière est basée, c'est la brume. Et MDG est un acteur important dans ce domaine.

La brume permet la manipulation tridimensionnelle de l'espace scènique. Le plus souvent, on la considère simplement comme un moyen de faire ressortir les faisceaux, mais je pense que c'est bien plus que cela ; il s'agit de dynamique et de définition visuelle. La brume offre de grandes possibilités de travailler en couches visuelles et d'ajouter un peu de mystère.

MDG : Quelle est la place de MDG dans tout cela, et pourquoi aimez-vous travailler avec MDG ? Je pense que vous connaissez très bien toute la gamme MDG !

MDG est le leader de l'industrie en matière de brume et de brouillard depuis toujours. Je décris le plus souvent le matériel de MDG comme l'équipement le plus important du spectacle.

MDG : Quelles sont les tournées et les spectacles que vous avez conçus en emmenant MDG avec vous ?

Il serait beaucoup plus facile d'énumérer les spectacles pour lesquels je n'ai pas travaillé avec MDG ! Il s'agirait des spectacles pour lesquels aucun brouillard de scène n'a été utilisé. Tous les autres spectacles, qui représentent au moins 90% de mes productions, utilisent toujours MDG.

Apocalyptica © Mikki Kunttu

MDG : Quels ont été vos spectacles préférés et pourquoi ?

J'ai tellement de chance d'avoir beaucoup, beaucoup de projets préférés dans mon sac de souvenirs, qu'en choisir quelques-uns n'est pas du tout une tâche facile. Mais je dois mentionner la collaboration de 30 ans avec le chorégraphe Tero Saarinen, quelques productions du Cirque du Soleil, le Concours Eurovision de la chanson 2016 à Stockholm, toutes les productions de l'incroyable Boston Ballet, la conception de la production du Ring de Wagner pour l'Opéra national de Finlande, de nombreuses productions du Ballet national de Finlande, le ballet sur glace de La Reine des neiges et, bien sûr, la cerise sur le gâteau, le Lac des cygnes pour le Ballet royal du Danemark, en 2015.

Il y a un point commun à toutes ces productions : les personnes formidables avec lesquelles j'ai eu le privilège de travailler. Je me souviens de ces productions d'abord pour les personnes que j'ai rencontrées, les amis que je me suis faits, et seulement en second lieu pour le résultat de la production scénique.

MDG : Que vous réserve l'avenir ?

Je travaille actuellement sur la troisième partie du cycle de l'anneau de Wagner, Siegfried, pour l'Opéra national de Finlande. La première aura lieu à la fin du mois de mars. Une nouvelle collaboration avec Tero Saarinen est également prévue. Et j'espère vraiment que le ballet sur glace de La Reine des neiges partira en tournée à l'avenir, car il s'agit d'une production très spéciale.

Dans une perspective plus large, l'avenir nous réserve des projets pour le ballet, la danse contemporaine, l'opéra, le théâtre d'art dramatique, les concerts, etc.

Die Walküre 2022 © Mikki Kunttu

De gauche à droite : Nicolas Duhamel, Paula Poroliseanu y Martin Michaud
   

RM Multimedia a été fondée en 2007 par Marco Bartolini, Ermanno Tontini et Paula Poroliseanu, qui ont tous apporté à la société de nombreuses années d'expérience dans le secteur. Basée à Cattolica (Rimini), RM Multimedia distribue exclusivement de nombreuses grandes marques de technologies de divertissement sur le marché italien. Son équipe de 20 personnes est unie par le même désir et la même capacité à renforcer la philosophie de l'entreprise, qui consiste à fournir la meilleure qualité de service à chaque client.
RM Multimedia est présent dans tout le pays avec l'appui d'un réseau de 10 agents commerciaux formés qui soutiennent les clients locaux à chaque étape du processus de vente. À cela s'ajoute la qualité incontestable des marques, qui fait de RM Multimedia un point de référence sur le marché italien.

"Avoir l'opportunité de distribuer MDG en Italie est pour nous un honneur et un nouveau défi", déclare Paula Poroliseanu. "Nous sommes extrêmement heureux et positifs de ce nouveau départ formidable".

"Nous sommes très heureux d'accueillir RM Multimedia dans la famille MDG en tant que nouveau distributeur pour l'Italie ", déclare Nicolas Duhamel, Directeur marketing et développement commercial européen de MDG." RM Multimedia distribue des marques de grande qualité depuis de nombreuses années. Ils sont connus en Italie pour leur sérieux et l'accompagnement de leurs clients dans leurs projets. La gamme de produits d'effets atmosphériques de MDG sera un complément parfait. Nous nous réjouissons d'un excellent avenir ensemble."

L’équipe RM Multimedia

RM Multimedia peut être contacté à l'adresse suivante :
Via Nino Rota n.3 - 47841 Cattolica (Rimini)
Tél : +39 (0)541 833103
Courriel : info@rmmultimedia.it
Web : www.rmmultimedia.it

Il Divo perform Hallelujah in honour of Carlos Marin © Jakub Janecki

Il Divo, le quatuor vocal multinational, a gardé la même composition au cours des 18 dernières années jusqu'à ce que, malheureusement, le membre fondateur, Carlos Marín, décède de la Covid en décembre dernier. Le groupe était à mi-chemin de sa tournée sur le thème de la Motown, For Once in My Life, et, après une longue réflexion et les encouragements de ses fans, il a décidé de poursuivre la tournée et de la réorganiser pour rendre hommage à son ami de longue date.

La tournée reconfigurée, rebaptisée Greatest Hits Tour, a débuté en février et se poursuivra jusqu'en décembre - soit un total de 105 dates internationales en 2022 - et d'autres à venir en 2023.

En hommage à leur ami, le groupe dédie chaque soir la chanson Hallelujah à Marín, pendant laquelle les autres membres chantent "avec" lui, et la scène est remplie d'une généreuse quantité de brouillard lourd fourni par l'ICE FOG Q HP.

"Le moment où IL DIVO chante avec Carlos une dernière fois est une partie tellement importante du spectacle qu'il est important que nous puissions garantir un bon résultat avec cet effet tous les soirs", explique Philip Marfleet, directeur de la tournée et de la production. "Nous avons choisi l'ICE FOG Q HP après l'étape américaine de la tournée où nous avons utilisé une variété de machines de location de différents fabricants en fonction de la disponibilité des équipements. Mais ces machines offraient des performances variables et la majorité des générateurs ne pouvaient pas nous donner un résultat cohérent et satisfaisant comme l'ICE FOG Q HP le pouvaient et dans le silence.

De retour en Europe, il était logique que la tournée voyage avec son propre générateur de brouillard et Marfleet a acheté l'ICE FOG Q HP à White Light, qui a été en mesure d'honorer la commande et de l'expédier à Madrid en seulement 3 jours.

"Nous sommes très heureux d'avoir pu aider Il Divo à obtenir la machine MDG dont il avait besoin dans un délai rapide, avec l'aide de Matt Wiseman de MDG Fog UK, et de l'expédier à temps pour sa première date européenne à la fin du mois de juin", déclare Jonathan Haynes, directeur du développement commercial de White Light.

"Après avoir fait l'expérience de nombreux générateurs de brouillard lourd, nous avons choisi l'ICE FOG Q HP en raison de sa vitesse et de sa capacité à couvrir une scène complète très rapidement", explique Marfleet. "Cela signifie que nous sommes en mesure de mettre l'effet en place dès le début de la chanson au lieu de devoir le construire lentement, et il se dissipe rapidement par la suite, de sorte qu'il a disparu au moment où les lumières sont rallumées après le black-out final de la chanson".

Il Divo perform Hallelujah in honour of Carlos Marin © Jakub Janecki

"L'ICE FOG Q HP est également très silencieuse, ce qui est extrêmement important car dans la plupart des salles de la tournée la machine se trouve sur scène, à quelques mètres seulement derrière l'orchestre, sans rideau entre eux pour les protéger du bruit."

White Light a fourni l'ICE FOG Q HP avec une interface DMX à 2 canaux qui permet de contrôler le générateur directement depuis la console d'éclairage. Cependant, il est également possible de le contrôler localement, ce que la régie choisit de faire dans certaines salles. "Nous pouvons régler un long délai avant que le brouillard ne s'allume et utiliser l'ICE FOG à son réglage le plus bas, puis le régisseur peut l'allumer au début de la chanson et l'éteindre à la fin - c'est aussi simple que cela", explique Marfleet. "Le gaz est fourni localement sur chaque site et n'a posé aucun problème, et la consommation de liquide est minime."

Le flight case roulant de l'ICE FOG Q HP s'est avéré très utile pour déplacer quotidiennement le générateur sur les scènes des festivals et à l'arrière d'un camion pour le spectacle suivant. "Des champs poussiéreux d'Espagne aux places pavées des villes, il supporte tout ce que nous lui lançons, et nous avons obtenu de très bons effets en extérieur lors de nos concerts d'été en Europe", déclare Marfleet. "Le vent est toujours un facteur intéressant bien sûr, mais sur une nuit calme, c'est magnifique !"

Le Il Divo Greatest Hits Tour entame une nouvelle étape de sa tournée européenne avec des dates au Royaume-Uni, en Norvège et en Espagne en décembre, avant de se rendre aux États-Unis et dans le reste du monde l'année prochaine.

Petter Nilssen, qui connaît déjà très bien nos produits, sera en charge de la marque pour son pays. Bienvenue dans la famille MDG, LiteNordic, et bon retour, Petter !

De gauche à droite : Martin Michaud, Petter Nielssen, Espen Bechmann, Nicolas Duhamel